Une bonne alimentation
Notre troupeau es
t 8 mois par an à la pâture ce
qui représente plus de 70% d'herbe dans leur
alimentation. Et quand les vaches ne viennent pas à
l'herbe à cause de l'hiver, c'est l'herbe qui vient
aux vaches! Grâce à notre système de séchage en
grange que nous pouvons conserver le foin de nos
prés et le redistribuer en conservant un maximum
sa qualité.
qui représente plus de 70% d'herbe dans leur
alimentation. Et quand les vaches ne viennent pas à
l'herbe à cause de l'hiver, c'est l'herbe qui vient
aux vaches! Grâce à notre système de séchage en
grange que nous pouvons conserver le foin de nos
prés et le redistribuer en conservant un maximum
sa qualité.
Une excellente qualité alimentaire :
L’herbe séchée en grange est récoltée précocement au printemps au meilleur stade de sa valeur alimentaire (juste avant le début d’épiaison). L’herbe, pré-fanée au champ pendant 24 à 72 heures, est ramassée à un taux de 45 à 65 % de matière sèche. L’herbe est moins travaillée et moins abîmée par les engins de fanage que lors de la réalisation d’un foin séché au champ. Les pertes via les feuilles, surtout des légumineuses sont réduites. Au final, ce foin est plus riche en protéines, très appétant et adapté à la physiologie des ruminants. Par exemple, une vache laitière en pleine lactation en consomme souvent de 18 à 20 kg/j. Ces qualités permettent de réduire fortement l'apport en compléments alimentaires comme le tourteau. Les risques de contaminations par les Butyriques et la Listéria (ce retrouvant dans le lait et ses produits dérivés et néfaste pour l'Homme) diminuent de façon très importante avec le foin séché. Les maladies respiratoires chez les animaux et chez l’homme sont donc limitées. Une longévité plus importante, un état de santé correct et une capacité de reproduction très satisfaisante sont remarqués chez les animaux nourris au foin ventilé. Ceci permet de limiter également les frais vétérinaires ainsi que les frais liés à la reproduction.
Une technique respectueuse de l'environnement :
Le séchage du foin est une technique qui n’engendre ni déchet, ni rejet polluant (suppression des jus et des odeurs dus à l’ensilage, élimination des plastiques, des ficelles, des pneus...). Tout cela contribue à donner une bonne image des fermes ainsi qu’une amélioration du paysage. Les surfaces en herbe sont maintenues d’où une utilisation modérée des intrants.
En complément et résumé :
Nous avons choisi de travailler avec cette technique car elle bien meilleure et plus adaptée pour la santé animale et elle nous permet d'être beaucoup plus autonome sur l'apport protéique ce qui réduit l'achat de tourteaux. Nous avons une capacité de production et stockage de 300 tonnes de foins par an réparti dans 3 cellules de stockages avec notre systèmes de séchage en grange. Cela représente le total de 3 à 4 coupes par an et l'équivalent de 105ha d'herbe coupée.
Le saviez-vous?
Le rapport oméga 3/oméga 6 de notre alimentation est un paramètre important. Consommer suffisamment d'oméga 3 contribue à la lutte contre l'apparition de diabètes ou de cancers et contre l'obésité.
Les oméga 6 et les oméga 3 sont deux familles d'acides gras essentiels pour la santé humaine. Nous sommes incapables de les produire nous-mêmes, ils doivent donc être présents dans ce que nous mangeons.
Une vache nourrit avec principalement du maïs et du soja produit du lait qui contient 0,08g/kg d'oméga 3 alors qu'une vache nourrit avec principalement de l'herbe produit du lait qui contient 0,59g/kg d'oméga 3.
Les oméga 6 et les oméga 3 sont deux familles d'acides gras essentiels pour la santé humaine. Nous sommes incapables de les produire nous-mêmes, ils doivent donc être présents dans ce que nous mangeons.
Une vache nourrit avec principalement du maïs et du soja produit du lait qui contient 0,08g/kg d'oméga 3 alors qu'une vache nourrit avec principalement de l'herbe produit du lait qui contient 0,59g/kg d'oméga 3.
Le procédé de fabrication que nous utilisons conserve les vitamines naturellement présentes dans le lait, comme la vitamine A ou D.